L’artiste, qui se définit plutôt comme « combattant » pour la survie de sa culture, sortait l’an dernier son premier album Farkoko en collaboration avec les collectifs Rise et ElectrAfrique. Une manière pour lui de faire connaître la culture Bédik, un peuple méconnu du Sud du Sénégal dont la langue et la culture sont menacées de disparition.